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LA MAFIA JUDICIAIRE TOULOUSAINE " Article 41 de la loi du 29 juillet 1881 - Déclaration universelle des droits de l'homme - Article 6 de la C.E.D.H " |
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ASSIGNATION
Par devant Monsieur le Président du Tribunal de Grande
Instance
D’AUCH statuant en matière de référés.
Mesures de remise en état qui
s'imposent pour prévenir un dommage imminent
Ou pour faire cesser un trouble
manifestement illicite.
En ses droits de défense de Monsieur
LABORIE André.
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Faux intellectuels |
Faux intellectuels |
Plainte avec constitution de partie civile
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L’AN DEUX MILLE DOUZE ET LE :
A LA REQUËTE DE :
Monsieur André LABORIE 2 rue de la Forge (transfert du
courrier) 31650 Saint ORENS, né le 20 mai 1956 à Toulouse demandeur
d’emploi.
PS : « Actuellement le courrier est transféré poste restante suite à
la violation du domicile en date du 27 mars 2008 »
NOUS, HUISSIERS DE JUSTICE,
AVONS DONNE ASSIGNATION A :
A comparaître devant Monsieur le
Président du Tribunal de Grande Instance d’AUCH siégeant au lieu ordinaire au
PALAIS DE JUSTICE, situé Allée d’ETIGNY 32008 AUCH CEDEX et à l’audience des
référés qui se tiendra le 20 mars à 10 heures.
TRES
IMPORTANT
Vous devez comparaître en personne ou vous faire assister ou représenter par un avocat.
Vous rappelant que faute de comparaître dans les
conditions ci-dessus énoncées, une décision pourra être prise à votre encontre
sur les seules affirmations de votre
adversaire.
RAISON DU PROCES
Monsieur LABORIE André s’est retrouvé saisi d’un disque dur de son
ordonnateur au cours d’une poursuite judiciaire en date du 14 septembre 2011,
mis en détention arbitraire jusqu’au 24 novembre 2011, en violation de toutes
les règles de droit au cours de la procédure. « En absence de délit et de flagrant délit ».
Procédure concernant un délit de presse soumis à la loi du 29 juillet
1881 et à une jurisprudence constante « prescription de trois mois ».
Que cette procédure s’est faite par une garde à vue de Monsieur LABORIE
André à 7 heures 30 du matin dans le département du Gers, hébergé temporairement
chez son amie au xxxxxxxxxxxxxxxxxx et suite
à la violation de son domicile en date du 27 mars 2008, revendiqué en justice
et située au N° 2 rue de la Forge 31650 Saint Orens.
Que Monsieur LABORIE André s’est retrouvé poursuivi par Monsieur VALET
Michel Procureur de la République de Toulouse, ce dernier « Prétendue victime » et pour lui
avoir reproché par image sur le site internet : http://www.lamafiajudiciaire.org;
sont excès d’autorité et de pouvoir, qui s’est refusé dans le cadre de ses
fonctions d’avoir fait cesser différents troubles à l’ordre public dont
Monsieur et Madame LABORIE sont toujours victimes.
·
Que Monsieur
LABORIE André lui a apporté de graves faits criminels à sa connaissance tous
restés sans suite, les dossiers non traités.
Et pour couvrir directement ou indirectement les auteurs et complices, Monsieur
LABORIE André rencontre de graves obstacles devant cette juridiction qui agit
en permanence avec partialité pour régler ses comptes directement avec Monsieur
LABORIE André et pour avoir traduit différents magistrats et auxiliaires de
justice devant les tribunaux.
·
Qu’une
procédure soit ; une information a été ouverte sur la juridiction de PARIS
devant le juge de l’instruction, pour faits criminels contre X et autres.
Qu’au vu des liens qui unissent de nombreux magistrats du parquet et du
siège de la juridiction Toulousaine à faire obstacles aux intérêts de Monsieur
LABORIE André, la juridiction parisienne a accepté la plainte régulièrement
déposée.
Que Monsieur LABORIE André est contraint au vu que la
juridiction toulousaine n’offre pas les garanties suffisantes d'impartialité, de saisir la juridiction des référés du
tribunal d’Auch ( 32 Gers), lieux du département ou s’est pratiquée cette
saisie faite au domicile de son amie.
·
Ce qui
est l’honneur faite à cette juridiction par Monsieur LABORIE André en son
impartialité reconnue d’avance.
D’autant plus que les agissements du 14 septembre 2011 sont venus
conforter une précédente détention arbitraire du 14 février 2006 au 14
septembre 2007, procédure qui est en cours d’une fixation de date d’audience devant une autre
juridiction que celle de Toulouse et pour une citation par voie d’action de
Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général prés la cour d’appel de Toulouse et
de Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse, ces derniers
poursuivis comme instigateurs et complices de détentions arbitraires dans le
seul but de faire échec à l’exécution des lois :
·
Fait prévus
et réprimés par les articles : 434-2 à 434-6 du code pénal.
·
Faits
prévus et réprimés par les articles : 432-1 et 432-2 du code pénal.
La
procédure subie par Monsieur LABORIE André le 14 septembre 2011 en 5 lignes.
Alors qu'il ne pouvait exister un quelconque délit." Prescription"
Alors que la procédure de comparution immédiate est interdite en matière de
délit de presse.
Agissements volontaires à la demande de Monsieur VALET Michel
Procureur de la République et de ses complices pour faire obstacle à mes droits
de défense et autres.
Agissements volontaires à la demande de Monsieur VALET Michel
Procureur de la République par faux et usage de faux et sous le couvert de
Monsieur DAVOST Patrice Procureur Général Prés la cour d’Appel de Toulouse.
Et pour en arriver à mon incarcération en date du 14 septembre 2011
jusqu’au 24 novembre 2011 et à une perquisition, pour me soustraire mon
ordinateur et mes archives et m'enlever tous mes moyens de défenses par la
soustraction des preuves, faire obstacles à différents procès pour le 25
octobre 2011 dont un contre Monsieur CAVE Michel Juge de l’exécution renvoyé
par la chambre criminelle devant un tribunal en son arrêt du 4 mai 2011.
·
Et
autres :
Sur la récidive de
Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse.
Pour avoir contesté
juridiquement la procédure faite le 14 septembre 2011 constitutive d’une
détention arbitraire portée à la connaissance du parquet de Toulouse, du
ministère de la justice et pour avoir demandé à plusieurs reprises la restitution
du disque dur ; Monsieur LABORIE André a été encore une fois victime de
tels agissements de représailles par une nouvelle garde à vue en date du 8
décembre 2011 et de ses conséquences, poursuites en correctionnelle en cours
faites en violation de toutes les règles de droit. « Nullité en
cours pour violation de tous les droits ».
Et alors que :
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre 2000 N°
99-87929
Article 41 de la loi du 29 juillet 1881
Que Monsieur LABORIE André a été contraint de porter connaissance sur le
fondement de l’article 434-1 du
code pénal, au parquet de Toulouse la détention arbitraire qu’il a subi, à la
demande de Monsieur VALET Michel et au vu de toutes les pièces du dossier qui
confirme sa demande.
Que Monsieur LABORIE André a été contraint de porter plainte sur le
fondement de l’article 434-1 du
code pénal à Monsieur MERCIE Michel Ministre de la justice, à Monsieur SARKOZY
Président de la République, de la détention arbitraire dont il a subi du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011, du vol de son disque dur et autres lui
portant de graves préjudices.
Article 434-1 et suivant du code pénal
Raison de la procédure en cours.
Soit :
Citation par voie d’action comme indiqué ci-dessus et pour des faits réprimés
de peines criminelle.
Qu’au vu des textes
et jurisprudences ci-dessous et des voies de faits établies.
Aux préjudices de
Monsieur LABORIE André.
La
juridiction toulousaine n’offre pas les garanties suffisantes d'impartialité.
Article 662 alina 13 du code de procédure pénale: Les circonstances de l'espèce dans lesquelles
ont été exercées des poursuites, sur la dénonciation d'un magistrat du
Parquet se présentant comme victime des faits, sont de nature, non à faire douter de l'indépendance des
membres du tribunal, mais à faire craindre que la juridiction ayant à décider
du bien-fondé de l'accusation n'offre pas les garanties suffisantes
d'impartialité, selon l'art. 6 Conv. EDH et constituent dès lors, un motif
de dessaisissement pour cause de suspicion légitime, au sens de l'art.
Qu’au vu du code
de déontologie des magistrats :
• Il incombe à tout juge d’observer une
réserve et d’éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu’il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l’autorité de l’institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dés lors qu’il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
• Le Magistrat qui, ayant l’obligation morale
de se déporter et d’éviter toute intervention de nature à donner l’apparence
d’un manquement à la neutralité et à l’impartialité, ne le fait pas, faillit
aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et
dans son action.
Art. 43 du code de procédure pénale : Sont
compétents le procureur de la République du lieu de l'infraction, celui de la
résidence de l'une des personnes soupçonnées d'avoir participé à l'infraction,
celui du lieu d'arrestation d'une de ces personnes, même lorsque cette
arrestation a été opérée pour une autre cause (L. n° 2004-204 du 9 mars 2004, art. 111-I
et 125) «et celui du lieu de détention d'une de ces personnes, même
lorsque cette détention est effectuée pour une autre cause.
«Lorsque
le procureur de la République est saisi de faits mettant en cause, comme auteur
ou comme victime, (L.
n° 2005-1549 du 12 déc. 2005, art. 36) «un magistrat, un avocat, un officier public ou ministériel, un
militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale,
des douanes ou de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne
dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public
[ancienne
rédaction: une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une
mission de service public]»
qui est habituellement, de par ses fonctions ou sa mission, en relation avec
les magistrats ou fonctionnaires de la juridiction, le procureur général peut,
d'office, sur proposition du procureur de la République et à la demande de l'intéressé, transmettre la procédure au
procureur de la République auprès du tribunal de grande instance le plus proche
du ressort de la cour d'appel. Cette juridiction est alors territorialement
compétente pour connaître l'affaire, par dérogation aux dispositions des
articles 52, 382 et 522. La décision du procureur général constitue une mesure
d'administration judiciaire qui n'est susceptible d'aucun recours.».
·
Qu’au vu des
refus systématiques de cette juridiction toulousaine à renvoyer par elle-même à
une autre juridiction sur le fondement des article 339 et 340 du ncpc et du code
de la déontologie des magistrats.
·
Qu’au vu
des refus systématiques de cette juridiction toulousaine à renvoyer par
elle-même à une autre juridiction sur le fondement des articles 662 alinéas 13
et en son article 43 du cpp.
·
Qu’au vu
des refus systématiques de cette juridiction toulousaine et obstacles par
corruption active et passive à faire obstacles aux différentes requêtes en
demande de suspicion légitime déposées à la chambre criminelle.
Monsieur LABORIE André citoyen français
est contraint sur le fondement de l’article 6 de la CEDH de choisir un tribunal
« en l’espèce la juridiction d’AUCH pour les motifs ci dessus
indiqués » et pour que sa cause soit entendue équitablement à fin que
ses droits de défense en tant que citoyen justiciable soit garantis et
respectés par un tribunal impartial.
DISCUSSION :
Saisine de Monsieur le Président statuant en matière de référé pour qu’il
soit ordonné la restitution par Monsieur VALET Michel Procureur de la
République de Toulouse, du disque dur appartenant à Monsieur LABORIE André et sous
astreinte de 100 euros par jour.
Que ce disque dur a été saisi en
date du 14 septembre 2011 justifié par procès verbaux ci joints N° 2011/566/22
et N° 2011/566/24
Qu’au vu de plusieurs réclamation faites et au vu que la non restitution de
ce disque dur, situation qui prive Monsieur LABORIE André en ses droits de
défenses dans la gestion de tous ses dossiers devant différentes juridictions
françaises, pénales, civiles et administratives.
·
Art. 432-1 Le
fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique, agissant dans
l'exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à
l'exécution de la loi est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 €
d'amende. — Civ. 25.
·
Art. 432-2 L'infraction
prévue à l'article 432-1 est punie de dix ans d'emprisonnement et de 150
000 € d'amende si elle a été suivie d'effet.
Que la privation et la confiscation de ce disque dur portent de nombreux
préjudices à Monsieur LABORIE André en ses droits de défense, en ses
articles 6 ; 6-1 et 6-3 de la CEDH « droit constitutionnel ».
D’autant plus que Monsieur VALET Michel prétend pour son refus de le
faire restituer, qu’un jugement aurait été rendu le 15 septembre 2011, alors
que ce dernier est constitutif de faux en écriture et nul sur le fondement de
l’article 486-alinéa 9 et au vu d’un arrêt de la CEDH du 24 juillet 2007
reconnaissant la violation des droits de la défense, jugement seulement porté à
la connaissance de Monsieur LABORIE André le 13 janvier 2012 après plusieurs
réclamations, n’étant même pas au courant de son contenu depuis 4 mois, causant
grief à ses droits de défense qui n’a pu saisir dans le délai de dix jours la
voie d’appel.
Bien que la juridiction d’appel soit saisie par un appel du jugement en
date du 13 janvier 2012, le jugement est nul de plein droit. « Constitutif de faux intellectuel »
n’ayant aucune force probante.
Qu’une plainte a été porté à la connaissance de Monsieur MERCIER Michel
Ministre de la justice en date du 4 décembre 2011 sur les agissements de
Monsieur VALET Michel Procureur de la république et de la détention arbitraire
subie par Monsieur LABORIE André.
(Ci-jointe).
Qu’une plainte a été porté à la connaissance de Monsieur Nicolas SARKOZY
Président de la République en date du 5 décembre 2011 sur les agissements de
Monsieur VALET Michel Procureur de la république et de la détention arbitraire
subie par Monsieur LABORIE André.
(Ci-jointe).
Par le refus de restituer le disque dur,
Monsieur VALET Michel Procureur de la République cause à Monsieur LABORIE les
préjudices suivants :
·
Monsieur LABORIE André ne peut faire fonctionner son
ordinateur par l’absence de son système d’exploitation Windows.
·
Monsieur LABORIE André ne peut plus gérer ses
différents dossiers qui se trouvent sur le disque dur.
·
Monsieur LABORIE André est privé de tous les documents
numérisés destinés aux autorités judiciaires.
·
Monsieur LABORIE André est privé de toutes ses
correspondances. « autorités, avocats et autres ».
·
Monsieur LABORIE
André est privé de toutes ses
photos de familles.
·
Monsieur LABORIE André est privé de tous ses documents
concernant sa vie privée.
·
Monsieur LABORIE André est privé d’assurer sa défense
devant de nombreuses juridictions : civiles, pénales, administratives.
·
Monsieur LABORIE André est privé de tous ses
justificatifs de fax et autres envoyés aux différentes autorités saisies
Sur la bonne foi de
Monsieur LABORIE André
Article 32-1 alinéa 8 : Le juge ne peut se borner à
affirmer que la procédure est abusive. Civ. 1re, 13 nov. 1984: Bull.
civ. I, n° 300.... Ou téméraire. Com. 19 mars 1980: Bull. civ. IV, n°
134... Ni à énoncer que l'adversaire a subi de ce fait un préjudice. Civ. 1re, 25 févr. 1986: Bull.
civ. I, n° 38; Gaz. Pal. 1987. 1. Somm. 41, obs. Croze et Morel.
·
Mais les nombreuses procédures pour la
reconnaissance du droit du défendeur à la propriété des biens litigieux,
génératrices de soucis et de dépenses, ne caractérisent pas une faute faisant
dégénérer en abus le droit d'agir en justice. Civ. 3e, 21 janv.
1998: Bull. civ. III, n° 17; D. 1998. IR 47 ; D. Affaires 1998. 293,
obs. S. P.
PS : Que les faits dénoncés par Monsieur LABORIE André, sont à la base
fondés sur la propriété de Monsieur et Madame LABORIE, celle-ci détournée par différentes détentions arbitraires
et pour faire obstacle à condamner les
auteurs.
Sur l’absence d’une
quelconque contestation sérieuse.
Sur un éventuel comportement contraire, Monsieur VALET Michel Procureur
de la République enflammerait encore plus cette procédure et mettrait des
responsabilités supplémentaires en périls.
Qu’il ne peut exister une quelconque contestation sérieuse pour se refuser
de faire restituer le disque dur à Monsieur LABORIE André, à part pour
continuer à nuire à ses intérêts, en ses droits de défense dans différents
dossiers comme ci-dessus expliqué et dans le seul but de lui porté une nouvelle
atteinte à sa vie privée.
·
Qu’il
est rappelé que les droits de défense sont des droits constitutionnels.
Qu’il est justifié par procès verbal N° 2011/566/22) : (Et ci-joint)
D’un disque dur de 320
GB de marque Western Digital, portant le numéro de série WMAV21347983 saisi en
date du 14 septembre 2011.
Indiquant :
Notons que le fichier du photomontage est également présent dans
l’archive du site internet de Monsieur LABORIE ( www.lamafiajudiciaire.org)
et daté du 17 mars 2011 et mise en ligne le 19 mars 2011.
·
Qu’il
est à préciser que cette page a été enlevée pendant la détention arbitraire de
Monsieur LABORIE André soit le 28 septembre 2011 directement du site internet
et après que Monsieur LABORIE André ait été contraint de représailles à la
demande de Monsieur VALET Michel, intervention de deux officiers de police
judiciaires au centre pénitentiaire de SEYSSES qui en ont dressé procès verbal.
·
Procès
verbal « toujours non communiqué
à Monsieur LABORIE André ».
Ne découvrons sur le disque dur aucun élément
supplémentaire, susceptible d’intéresser l’enquête.
Qu’il est justifié par procès verbal N° 2011/566/24) : (Et ci-joint)
Nous n’avons pas découvert sur ce disque dur saisi d’images étapes ou
d’ébauches de photomontage, avant le montage final.
Qu’en conséquence Monsieur
VALET Michel ne peut refuser la restitution du disque dur appartenant à
Monsieur LABORIE André.
·
Les faits reprochés étant prescrits et la
détention arbitraire étant consommée.
Que Monsieur VALET
Michel Procureur de la République de Toulouse est un organe administratif
reconnu par la CEDH non indépendant du pouvoir exécutif et pouvant être traduit
devant les tribunaux pour abus d’autorité, excès de pouvoir ou pour détention
arbitraire devant la cour d’assises qui en sera prochainement saisie.
PAR
CES MOTIFS :
Rejeter toutes conclusions contraires et mal fondées.
Ordonner la restitution par
Monsieur VALET Michel Procureur de la République de Toulouse, à Monsieur
LABORIE André propriétaire de son disque dur de 320 GB de marque
Western Digital, portant le numéro de série WMAV21347983 et sous astreinte de
100 euros par jour au vu de l’urgence.
Ordonner la
condamnation de Monsieur VALET Michel sur le fondement de l’article 700 à la
somme de 1500 euros à verser à Monsieur LABORIE André.
Ordonner les dépens à
la charge de Monsieur VALET Michel suite au refus de se soumettre aux
différents courriers et à sa mauvaise foi, et ce qui aurait pu éviter une telle
procédure à son encontre.
Sous toutes réserves dont actes :
Monsieur LABORIE André
Pièces :
PS :
·
Assignation portée à la connaissance de Monsieur
MERCIER Ministre de la Justice.
·
Assignation portée à la connaissance de Monsieur
SARKOZY Nicolas Président de la
République.